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Un Lexique du racisme: étude sur les définitions opérationnelles relatives au racisme et aux phénomènes connexes Année de publication: 2006 Auteur: Micheline Labelle Auteur institutionnel: UNESCO | Centre de recherche sur l'immigration, l'ethnicité et la citoyenneté (Canada). Observatoire international sur le racisme et les discriminations Qu'est-ce que la « race »? Qu'est-ce que le racisme? Le racisme est-il universel et existet-il de toute éternité? Comment distinguer racisme, ethnocentrisme et xénophobie? Quelles sont les manifestations ou les formes élémentaires du racisme? Quels sont ses niveaux? Quelles sont ses logiques discursives? On observe dans diverses sociétés contemporaines l’expression du racisme et de l’ethnisme. Le déplacement sournois du racisme classique au néo-racisme pose différents types de problèmes pour l'analyse sociologique et politique et l’intervention sociale. L’une de ces difficultés concerne les critères de définition du racisme : le racisme existe-t-il seulement lorsque le mot « race » est présent? Est-il légitime de qualifier de racisme les préjugés et les discriminations contre les jeunes, les personnes âgées, les femmes, les homosexuels, les patrons, les policiers? Y a-t-il lieu de référer à des « racismes spécifiques » dans ses manifestations, soit un racisme qui touche des groupes cibles particuliers : Autochtones, Afrodescendants, Juifs, Arabes, etc.? Comment éviter une hiérarchisation des expressions du racisme et des cibles du racisme, tout en rendant compte de leur spécificité? Enfin, s’ajoute la question de la spécificité des sociétés (allemande, américaine, française, guadeloupéenne, japonaise, rwandaise, sud-africaine, etc.) qui fournissent le contexte politique et le répertoire culturel à partir desquels s'alimentent les expressions du racisme et de l'antiracisme. Il n’existe dans le système des Nations Unies définition du racisme. Dans son article 1, la Convention pour l’élimination du racisme et de la discrimination raciale (CERD) se limite à définir la seule discrimination raciale, qu’elle fonde sur « la race, la couleur, l’ascendance ou l’origine nationale ou ethnique ». Cette vision très large aboutit sur le plan opérationnel à faire du racisme une sorte de fourre-tout où se retrouve tout ce qui a « pour but ou pour effet de détruire ou de compromettre la reconnaissance, la jouissance ou l’exercice, dans des conditions d’égalité, des droits de l’homme et des libertés fondamentales dans les domaines politique, économique, social et culturel ou dans tout autre domaine de la vie publique ». Les instruments internationaux et nationaux recourent largement à la notion de « race » pour combattre le racisme et par le fait même, ils contribuent à la reproduction des représentations qui y sont associées. Les cibles du racisme sont souvent confondues dans une même totalité. Les préjugés ne sont pas distingués des pratiques sociales. Sous couvert d’analyser le néo-racisme, on oublie que les représentations liées au racisme « colonial » perdurent dans nos sociétés. La « gestion de la diversité » est confondue avec la lutte contre le racisme.De tout ce flou, il résulte une confusion terminologique dans les concepts lorsqu’on regarde le terrain opérationnel où la lutte contre le racisme, la xénophobie, la discrimination et toutes les formes d’intolérance se trouve unifiée. Des campagnes de prévention contre le racisme confondent les cibles du racisme et celles de l’ethnocentrisme ou de la xénophobie. Ceci a un impact sur l’efficacité de la lutte contre le racisme et contre les racismes que l’on peut qualifier de spécifiques ─ anti autochtone, anti afro-descendant, antisémitisme, arabophobie, islamophobie, etc. ─, soit ceux qui se sont manifestés historiquement et à un niveau ultime, sous la forme d’une biopolitique de haine et de violence et du racisme d’État (Le Cour Grandmaison, 2005, p.128). Étant donné ce manque de clarté conceptuel, il apparaît important de réfléchir sur les définitions du racisme et de la discrimination et sur les termes utilisés pour les combattre. La première partie propose d’entrée de jeu un commentaire critique sur la notion de « race » et distingue ensuite les fonctions, les manifestations, les niveaux et les logiques du racisme. La seconde partie contient un glossaire des termes adoptés par les experts des sciences humaines et juridiques, les institutions internationales et nationales, de même que par certains organismes de combat, dans le domaine du racisme et de la discrimination. Plusieurs de ces définitions font problème, on le constatera par comparaison. Nous illustrons ainsi la difficulté que pose la présentation d’une définition extraite ou séparée de son contexte et d’un cadre théorique sur l’interprétation du racisme que les limites de cette étude ne nous permettent pas d’analyser et de mettre en relief. Cette étude s’inscrit dans le cadre de l’action de l’UNESCO pour promouvoir le renforcement des politiques contre le racisme et la discrimination dans les villes et les municipalités. L’UNESCO a appuyé la mise sur pied de la Coalition internationale des villes contre le racisme. Le cadre de départ de cette Coalition est la proposition d’un Plan d’action en 10 points, adopté à Nuremberg, en décembre 2004 (UNESCO, 2004).
L'UNESCO et l'éducation Année de publication: 2017 Auteur institutionnel: UNESCO Education is a fundamental human right and
a public good and, as such, has been at the core of UNESCO’s work since its inception.Education is also the path to sustainability – to poverty alleviation, better health, environmental protection and gender equality.As the only United Nations agency with a mandate to cover all aspects of education, UNESCO was entrusted in 2015 to lead the coordination and monitoring of Sustainable Development Goal 4, as part of the new Global Education 2030 Agenda.Goal 4 aims to “ensure inclusive and equitable quality education and promote lifelong learning opportunities for all,” and renewed UNESCO’s and Member States’ commitment to a vision of education that is holistic, inspirational and which leaves no one behind.This commitment is reflected in the size and scope of the Education Sector, the largest in UNESCO, with staff working at its Paris Headquarters and spread across a global network of field offices and specialized institutes and centres. With its close links with education ministries and other partners, UNESCO is strongly placed to press for action and change.UNESCO’s Education Sector supports Member States in developing education systems that foster high-quality and inclusive lifelong learning for all, empowering learners to be creative and responsible global citizens while leading the debate to help shape the future international education agenda.There is no stronger, no more lasting, investment a country can make than educating its citizens. The Education Sector exists to further this collective vision worldwide by transforming lives one by one.
Actes des congrès internationaux de: l'éducation pour les valeurs partagées pour la compréhension interculturelle et interreligieuse, (et) la religion dans la paix et les conflits: répondre au militantisme et le fondamentalisme Année de publication: 2005 Auteur institutionnel: UNESCO Les résultats de cette conférence, et ses liens directs avec le réseau des écoles associées dans votre région, soutiendront les efforts visant à modeler l'éducation afin qu'il devienne plus propice au développement des citoyens du monde, fiers de leur identité et en mesure de contribuer à une durable et l'avenir pacifique pour les peuples du monde.
Second UNESCO Forum on Global Citizenship Education video Année de publication: 2015 Auteur institutionnel: UNESCO Faits saillants du deuxième Forum de l'UNESCO sur l’éducation à la citoyenneté mondiale (ECM) Construire des sociétés pacifiques et durables: la préparation pour l'après-2015 (28-30 Janvier 2015, Siège de l'UNESCO, Paris). Le Forum a été organisé par la Division de l'enseignement, l'apprentissage et du contenu, Secteur de l'éducation, l'UNESCO, avec le soutien de l'Autriche, le Sultanat d'Oman et la République de Corée, et Première Éducation Mondiale Initiative du Secrétaire Général de l'ONU (PISG).
Les futurs humanistes de l’apprentissage: Perspectives des chaires UNESCO et des réseaux UNITWIN Année de publication: 2020 Auteur institutionnel: UNESCO L’initiative de l’UNESCO intitulée Les futurs de l’éducation vise à repenser l’éducation et à façonner l’avenir, en lançant un débat mondial sur la manière de réinventer le savoir, l’éducation et l’apprentissage dans un monde de plus en plus complexe, incertain et précaire. Le présent volume constitue la première collection de contributions soumises à l’initiative Les Futurs de l’éducation de l’UNESCO par le Programme des chaires UNESCO/UNITWIN, un vaste réseau mondial regroupant plus de 800 établissements d’enseignement supérieur dans plus de 115 pays. Les documents de réflexion qu’il contient mettent en évidence les dimensions essentielles à prendre en compte pour ré-imaginer et redéfinir l’éducation dans l’intérêt de l’avenir de l’humanité et de la planète. Cette collection appelle à insister davantage sur un certain nombre de domaines critiques tels que le rôle de la culture dans le renforcement de la durabilité sociale et environnementale, les valeurs et les attitudes nécessaires pour préparer les générations futures, l’importance d’une éducation publique et robuste, ainsi que d’autres espaces d’apprentissage, la nécessité de renforcer la créativité et les capacités humaines à l’ère numérique, ainsi que le rôle de l’enseignement supérieur concernant la génération des savoirs et la conduite de l’innovation nécessaire pour transformer notre monde. 