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Les effets de l’IA sur la vie professionnelle des femmes Année de publication: 2022 Auteur: Clementine Collett | Gina Neff | Livia Gouvea Gomes Auteur institutionnel: UNESCO | Inter-American Development Bank | Organisation for Economic Co-operation and Development (OECD) L'utilisation des technologies d'IA aura une incidence sur les opportunités de travail des femmes, ainsi que sur leur position, leur statut et leur traite,ent sur le lieu de travail. Partout dans le monde, les femmes dans la population active gagnent moins que les hommes, passent plus de temps à s'occuper des enfants et des personnes âgées sans être rémunérées, occupent moins de postes à responsabilités, sont moins présentes dans les domaines des sciences, de la technologie, de l'ingénierie et des mathématiques(STEM) et ont tendance à occuper des emplois plus précaires dans l'ensemble. En exploitant l'IA, les gouvernements, les institutions et les entreprises doivent réduire les inégalités femmes-hommes plutôt que les perpétuer ou de les exacerber. Ce rapport, rédigé par la BID, l'OCDE et l'UNESCO, présente les connaissances actuelles sur position, leur traitement et leur statut dans la population active. Pour ce faire, il explore à l'avenir. Il examine l'impact potentiel des technologies d'IA nouvelles et naissantes sur les cométences dont les employeurs auront besoin, sur la manière dont les femmes structurés grâce à un contrôle et une surveillance automatisée. Le rapport dresse la liste des opportunités et des défis que l'IA présente pour la vie professionnelle des femmes et souligne les complexités que présentent les différents contextes nationaux et régionaux pour comprendre l'impact de l'IA sur le travail des femmes. Le rapport note également que les recherches actuelles ne permettent pas de dresser un tableau complet ou précis de l'impact de l'IA sur la vie professionnelle des femmes et appelle à poursuivre les recherches et les analyses dans ce domaine.
Repenser nos futurs ensemble: un nouveau contrat social pour l'éducation Année de publication: 2021 Auteur institutionnel: International Commission on the Futures of Education | UNESCO L’avenir de l’humanité sur la planète est, nous le savons aujourd’hui, compromis. La pandémie a eu au moins le mérite de démontrer combien nos existences sont fragiles et combien nos destins sont inextricablement liés. Il est nécessaire et urgent désormais, d’agir collectivement pour changer de cap et réinventer notre avenir. Dans ce tournant, l’éducation jouera un rôle crucial pour sa capacité, universellement reconnue, à provoquer le changement. Mais pour jouer son rôle, elle devra surmonter un double défi : honorer, d’une part, sa plus vieille promesse, c’est-à-dire d’être effective et d’assurer le droit à une éducation de qualité pour chaque enfant, chaque jeune, chaque adulte partout à travers le monde ; et, d’autre part, assumer entièrement son potentiel transformateur, afin d’ouvrir la voie vers un avenir collectif durable. Pour y parvenir, il convient de s’engager dans un nouveau contrat social pour l’éducation, qui permette de corriger les injustices tout en transformant l’avenir. Ce nouveau contrat social doit être enraciné dans les droits humains et être fondé sur les principes de non-discrimination, de justice sociale, de respect de la vie, de la dignité humaine et de la diversité culturelle ; il doit aussi s’appuyer sur une éthique de la sollicitude, de la réciprocité et de la solidarité ; il doit enfin renforcer l’éducation comme projet public et un bien commun de l’humanité. Le présent rapport, préparé durant deux ans et qui a pu s’appuyer sur une consultation mondiale de près d’un million de personnes, invite les gouvernements, les partenaires et les citoyens du monde entier à élaborer un nouveau contrat social en faveur de l’éducation, pour construire un avenir pacifique, juste et durable pour toutes et tous. Les conceptions, les principes et les propositions avancés ici ne constituent qu’un point de départ. Seul un effort collectif pourra les traduire en actes et les adapter aux situations locales. Il existe en effet de vraies lueurs d’espoir. Ce rapport essaie de les ressaisir afin que l’avenir se construise sur ces fondations. Qu’on n’y voit donc pas un manuel ou un plan directeur : c’est le début d’une conversation vitale.
L’autonomisation des utilisateurs grâce aux réponses apportées par l’éducation aux médias et à l’information à l’évolution de l’intelligence artificielle générative (IAG) Année de publication: 2024 Auteur: Divina Frau-Meigs Auteur institutionnel: UNESCO Messages clés L’intelligence artificielle et l’IA générative influent grandement sur les rapports des indivi- dus à l’information, aux technologies numériques et aux médias. Mais cela ne va pas sans inquiétudes quant à leur contrôle, au pouvoir d’action et à l’autonomie dont disposent les utilisateurs vis-à-vis de l’information, à la prise de décisions, à l’égalité des genres et aux libertés en général. . Pour constituer une réponse à l’IAG, technologie qui en est à ses balbutiements, l’autonomisation des utilisateurs grâce à l’éducation aux médias et à l’information (EMI) doit être pleinement déployée, et les autorités publiques doivent s’efforcer de la promouvoir dès le début. L’EMI est indispensable pour garantir une utilisation éthique des médias synthétiques, c’est-à-dire des vidéos, textes, images et sons totalement ou partiellement créés à l’aide de systèmes d’IA. L’IAG offre de nombreuses opportunités sociales dans différents domaines, dont l’accès à l’information, la participation, l’employabilité, la créativité, l’apprentissage tout au long de la vie et les industries créatives, entre autres. Il existe cependant des risques sociaux potentiels aggravés par l’IA générative, dont : la désinformation, la perte de contrôle sur la confidentialité des données, les menaces pour l’intégrité des élections, la surveillance, le manque de fiabilité des sources, la discrimination notamment fondée sur le genre et les stéréotypes raciaux et les violations des droits d’auteur. Pour mettre à profit la familiarité face à l’urgence, la maîtrise de l’IA pourrait être intégrée dans les programmes d’EMI afin d’éduquer et de former des communautés très diverses (éducateurs, bibliothécaires, animateurs pour la jeunesse, réseaux de femmes, etc.). Pour bien concevoir non seulement les programmes d’EMI mais aussi la gouvernance de l’IAG et les politiques connexes, l’IA explicable joue un rôle essentiel. Pour renforcer la confiance dans l’information et l’éducation, la fiabilité des sources doit être réexaminée pour englober tous les différents types de « preuves » fournies par l’IAG. L’EMI peut former des acteurs éclairés n’appartenant pas au secteur de la technologie afin qu’ils contribuent à la conception, à la mise en œuvre et à la réglementation de l’IA d’une manière qui reste centrée sur l’humain, sensible au genre et soucieuse de l’intérêt public. La formation dans le cadre de l’EMI relève des gouvernements et des établissements d’enseignement supérieur, qui doivent veiller à ce que les actions politiques en la matière soient soutenues et renforcées dans la durée, pour s’adapter aux évolutions constantes de l’IA/IAG.
Journée internationale de l’éducation 2025 : L’intelligence artificielle et l’éducation : préserver l’autonomie dans un monde automatisé Année de publication: 2025 Auteur institutionnel: UNESCO La Journée internationale de l’éducation 2025 vise à : Examiner les nouvelles possibilités offertes par l’IA, en particulier pour l’enseignement, l’apprentissage, l’évaluation et l’administration éducative. Promouvoir le développement de compétences critiques en matière d’IA en dotant les éducateurs et les apprenants des aptitudes nécessaires pour comprendre, utiliser et influencer les technologies d’IA, conformément aux cadres de compétences en IA de l’UNESCO pour les enseignants et les élèves. Veiller à ce que l’IA complète, plutôt qu’elle ne remplace, les éléments humains essentiels de l’apprentissage, notamment le développement des relations en présentiel et de l’intelligence émotionnelle.
LES INÉGALITÉS CARBONE TUENT: Réduire les émissions excessives d’une élite peut favoriser la durabilité de la planète pour tou·te·s Année de publication: 2024 Auteur: Mira Alestig | Nafkote Dabi | Abha Jeurkar | Alex Maitland | Max Lawson | Daniel Horen Greenford | Corey Lesk | Ashfaq Khalfan Auteur institutionnel: Oxfam International Pour lutter contre le dérèglement climatique et instaurer une véritable justice sociale, une seule solution s’impose : la réduction drastique des inégalités. En mettant en évidence les répercussions catastrophiques que le mode de vie des plus riches entraîne sur le climat, la présente note d’information propose des mesures urgentes pour protéger l’ensemble de la population et la planète.Le peu de dioxyde de carbone que nous pouvons encore nous permettre de générer sans que cela entraîne des conséquences irréparables est aujourd’hui dilapidé sans discernement par les ultra-riches. Nous offrons ici de nouvelles preuves de la façon dont les yachts de luxe, les jets privés et les investissements polluants de 50 des milliardaires les plus riches au monde accélèrent la crise climatique. Les recherches d’Oxfam montrent que les émissions produites par la frange des 1 % les plus riches de la planète provoquent des pertes économiques estimées à plusieurs milliers de milliards de dollars, contribuent à la destruction d’une énorme quantité de récoltes et entraînent des millions de décès prématurés.Alors que la température de la Terre ne cesse d’augmenter, mettant en péril la vie et les moyens de subsistance des personnes qui vivent dans la pauvreté et la précarité, il nous faut agir sans délai pour endiguer les émissions des ultra-riches et faire payer les riches pollueurs.
LES INÉGALITÉS CARBONE TUENT: Réduire les émissions excessives d’une élite peut favoriser la durabilité de la planète pour tou·te·s; RÉSUMÉ Année de publication: 2024 Auteur: Mira Alestig | Nafkote Dabi | Abha Jeurkar | Alex Maitland | Max Lawson | Daniel Horen Greenford | Corey Lesk | Ashfaq Khalfan Auteur institutionnel: Oxfam International Pour lutter contre le dérèglement climatique et instaurer une véritable justice sociale, une seule solution s’impose : la réduction drastique des inégalités. En mettant en évidence les répercussions catastrophiques que le mode de vie des plus riches entraîne sur le climat, la présente note d’information propose des mesures urgentes pour protéger l’ensemble de la population et la planète.Le peu de dioxyde de carbone que nous pouvons encore nous permettre de générer sans que cela entraîne des conséquences irréparables est aujourd’hui dilapidé sans discernement par les ultra-riches. Nous offrons ici de nouvelles preuves de la façon dont les yachts de luxe, les jets privés et les investissements polluants de 50 des milliardaires les plus riches au monde accélèrent la crise climatique. Les recherches d’Oxfam montrent que les émissions produites par la frange des 1 % les plus riches de la planète provoquent des pertes économiques estimées à plusieurs milliers de milliards de dollars, contribuent à la destruction d’une énorme quantité de récoltes et entraînent des millions de décès prématurés.Alors que la température de la Terre ne cesse d’augmenter, mettant en péril la vie et les moyens de subsistance des personnes qui vivent dans la pauvreté et la précarité, il nous faut agir sans délai pour endiguer les émissions des ultra-riches et faire payer les riches pollueurs.
Cartographie des politiques culturelles dans les Petits États Insulaires en développement : faire émerger la voix des PEID dans le dialogue politique mondial sur la culture et le développement durable Année de publication: 2025 Auteur institutionnel: UNESCO Cartographie des politiques culturelles dans les Petits États insulaires en développement Répartis dans trois sous-régions - l’Atlantique, l’océan Indien et la mer de Chine méridionale (AIS), les Caraïbes et le Pacifique - les petits États insulaires en développement (PEID) représentent 39 États membres de et 9 membres associés de l’UNESCO. Les pays et les organisations régionales ont progressivement démontré leur engagement dans un paysage politique et des écosystèmes culturels en évolution rapide, englobant les différentes dimensions de la culture, à travers sa diversité et son large éventail de parties prenantes. Aujourd’hui, une vision du développement spécifique aux PEID et axée sur la culture est en plein essor. La culture a un impact multiforme sur les voies du développement durable des PEID - qu’il s’agisse de la lutte contre le changement climatique, de la protection de la biodiversité, de la sécurité alimentaire, de la diversification économique, de l’inclusion sociale, de l’égalité entre les genres ou de la durabilité urbaine. Leurs voix et leurs aspirations doivent être entendues dans le dialogue politique mondial, en reconnaissance de leurs priorités, de leurs opportunités et de leurs idées innovantes. Les efforts de coopération internationale portés par l’UNESCO et d’autres organisations sont également essentiels pour identifier les domaines d’investissement et d’adaptation des politiques futures aux niveaux national et régional. Dans la continuité de la Conférence mondiale de l’UNESCO sur les politiques culturelles et le développement durable - MONDIACULT 2022, les PEID œuvrent en faveur de la culture pour le développement durable en vue de l’adoption d’un nouveau programme d’action, l’Agenda d’Antigua-et-Barbuda pour les PEID 2024-2034. 