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412 résultats trouvés
Des étudiants s'engagent aux côtés de Louvain Coopération Année de publication: 2013 Auteur institutionnel: Louvain Coopération Des étudiants de l'UCL s'engagent pour les pays du Sud! Découvrez leurs aventures aux côtés de Louvain Coopération, l'ONG de l'UCL!
Une expérience d’éducation à la citoyenneté: La Commission jeunesse de Gatineau; Rapport de recherche produit dans le cadre du projet de recherche collaborative sur les pratiques d’éducation citoyenne en milieux communautaires et associatifs Année de publication: 2019 Auteur: Stéphanie Gaudet | Mariève Forest | Caroline Caron Auteur institutionnel: Conseil de recherches en sciences humaines du Canada | Centre interdisciplinaire de recherche sur la citoyenneté et les minorités (CIRCEM) | Université d’Ottawa Notre équipe de recherche collaborative pose l'hypothèse qu'une partie de la réponse aux enjeux d’apathie politique, de cynisme et de radicalisation se trouve dans une éducation citoyenne vivante et engageante. Alors que les représentants de milieux communautaires et municipaux participant à des initiatives d’éducation à la citoyenneté auprès de jeunes peuvent témoigner de l’importance que prennent ces expériences dans la vie de ces personnes, peu de chercheurs se sont penchés sur cette dynamique jusqu’à présent. Cette recherche collaborative vise à comprendre la portée éducative, citoyenne et démocratique de l’expérience participative des jeunes qui prennent part à des initiatives d’éducation à la citoyenneté. Six initiatives ayant cours en dehors des cursus scolaires ont été retenues dans cette étude, dont la Commission jeunesse de Gatineau (CJG). Ce rapport porte précisément sur les résultats d’observations ethnographiques et d’entretiens réalisés auprès de la CJG au cours de l’année 2017- 2018. Les questions de recherche que nous avons retenues sont les suivantes : Comment la CJG conçoit-elle la citoyenneté des jeunes? Quelles qualités citoyennes sont développées? Quelles approches éducatives sont mises de l’avant? Quelle est la portée démocratique des activités réalisées? La CJG est une instance municipale qui rassemble des jeunes, qui les incite à réfléchir et à discuter des dimensions de la vie municipale les touchant particulièrement et qui les amène à prendre des décisions à ce sujet. Plus largement, la CJG se présente comme une « école municipale de participation citoyenne. » Elle se dit également « une instance représentative reconnue en matière de jeunesse, où le sentiment d’appartenance à l’école et à la ville est un levier de l’engagement des adolescents. »
Participation civique et politique des citoyens issus de l’immigration (Diversité urbaine; vol. 9, no. 2) Année de publication: 2016 Auteur: Carolle Simard | Michel Pagé Auteur institutionnel: Groupe de recherche diversité urbaine (GRDU) | Centre d’études ethniques des universités montréalaises (CEETUM) Dans cet article, nous présentons les conclusions d’une enquête exploratoire réalisée auprès de nouveaux citoyens canadiens originaires de pays non dé- mocratiques. Sont notamment étudiées les variables susceptibles d’expliquer leurs perceptions des systèmes politiques canadien et québécois ainsi que leurs comportements politiques. Plus particulièrement, nous nous intéressons aux interrelations entre ces trois groupes de variables : politiques, psycholo- giques et sociodémographiques. Notre étude s’appuie sur l’analyse de 30 entretiens semi-directifs complétés auprès de répondants montréalais nés en Haïti, au Liban et au Pérou.
Participation citoyenne et recherches participatives dans le champ des inégalités sociales (Nouvelles pratiques sociales; vol. 30, no. 1) Année de publication: 2018 Auteur: Baptiste Godrie | Guillaume Ouellet | Robert Bastien | Sylvia Bissonnette | Jean Gagné | Luc Gaudet | Audrey Gonin | Isabelle Laurin | Chrisopher McAll | Geneviève McClure | François Régimbal | Jean-François René | Mireille Tremblay Auteur institutionnel: University of Quebec at Montreal Cet article analyse les effets de processus de participation citoyenne sur les inégalités sociales à partir de projets de recherche réalisés par les auteurs de l’article, membres d’une équipe multidisciplinaire composée de chercheurs et de partenaires issus de la communauté. La participation citoyenne peut avoir pour effet de lutter contre les inégalités sociales, en particulier d’accès à la parole des groupes les plus exclus, et de conduire les différents participants à se défaire d’un regard préétabli vis-à-vis des populations en situation de pauvreté. L’analyse met également l’accent sur les rapports de pouvoir au cœur des processus participatifs de recherche.
Apprentissage libre et à distance pour l’alphabétisation des jeunes et des adultes: lignes directrices Année de publication: 2022 Auteur institutionnel: UNESCO Institute for Lifelong Learning (UIL) | Commonwealth of Learning Les lignes directrices sur l'apprentissage ouvert et à distance pour l'alphabétisation des jeunes et des adultes comblent une lacune dans l'offre d'alphabétisation en présentant des principes et des pratiques d'apprentissage ouvert et à distance (ODL) pour illustrer comment l'apprentissage et l'éducation peuvent être dispensés à distance. Cette publication est divisée en deux parties principales. La partie 1 présente des conseils pratiques dans quatre domaines—la planification, le développement, la mise en œuvre et le suivi et l'évaluation—et la partie 2 examine les diverses technologies qui sont utilisées pour les programmes ODL et qui pourraient soutenir l'apprentissage de l'alphabétisation des jeunes et des adultes. Les décideurs politiques, les prestataires d'alphabétisation et les éducateurs bénéficieront de la compréhension et de l'application du concept et des principes de l'ODL dans la conception et la prestation de programmes d'alphabétisation et d'opportunités d'apprentissage efficaces, inclusifs et durables - renforçant la résilience de leurs programmes d'alphabétisation et élargissant la portée et la participation au processus.
Changer le monde: Comment s'y prennent les jeunes (Le Courrier de l'UNESCO no. 3; Juillet-Septembre 2011) Année de publication: 2011 Auteur institutionnel: UNESCO Considérant l’histoire scolaire comme un lieu de confrontation de discours et savoirs issus d’espaces de socialisation en concurrence (l’école, la famille, les médias), nous nous intéressons au travail d’éducation à la citoyenneté et aux défis que lui posent ces socialisations plurielles. Dans un contexte d’importante médiatisation des débats sur la reconnaissance des mémoires de minorités en France et de leur entrée dans les programmes scolaires du collège en 2008, comment les élèves s’approprient-ils les « questions socialement vives » de l’immigration, la colonisation, et la décolonisation ? En outre, comment s’effectue dans ce contexte l’apprentissage de la citoyenneté et du principe politique qui la fonde dans la tradition scolaire républicaine ? À partir de l’analyse de contenu d’un corpus composé d’une centaine d’entretiens semi-directifs menés entre 2007 et 2010 auprès de collégiens de 3e(fin du premier cycle du secondaire et de la scolarisation obligatoire), nous analysons et mettons en évidence des interprétations contrastées de ces héritages par les élèves majoritaires et les élèves minoritaires, respectivement alimentées par les catégories du débat public et les récits familiaux. Nous montrons, à la suite des travaux relevant de la sociologie des programmes scolaires, que l’apprentissage de la citoyenneté à la lumière de ces héritages historiquesrésulte de la confrontation des élèves aux discours et savoirs issus des différents espaces auxquels ils prennent part. Mais il est surtout le produit de leur prise de position face à ces héritages historiques, selon leurs expériences sociales et le rôle qu’ils confèrent à ces histoires dans la construction d’une identité et une appartenance communes.
Médias: Opération décontamination (Le Courrier de l'UNESCO no. 2; Juillet-Septembre 2017) Année de publication: 2017 Auteur institutionnel: UNESCO La pluralité d’opinions éclairées est une condition sine qua non du développement démocratique de nos sociétés. La qualité des informations diffusées par les médias – traditionnels et nouveaux – est déterminante dans la formation de l’opinion publique. C’est pourquoi l’UNESCO met un accent tout particulier à l’éducation aux médias et à l’information qu’elle considère comme une compétence citoyenne fondamentale du XXIe siècle.La liberté d’expression et la libre circulation des idées par les mots et l’image font partie des principes constitutifs de l’UNESCO et sont au cœur de l’Agenda 2030 pour le développement durable. L’UNESCO soutient le travail des journalistes et militants déterminés qui défendent ces libertés fondamentales, comme le journaliste Dawit Isaak, lauréat du Prix mondial de la liberté de la presse UNESCO/Guillermo Cano 2017, dont on peut découvrir le portrait dans ce numéro du Courrier de l’UNESCO.Au cours de cette dernière décennie, plus de 800 professionnels des médias ont été victimes de crimes visant à museler la libre expression. Seul un meurtre sur dix a donné lieu à un jugement. Cette impunité est inacceptable et alimente encore la spirale de la violence dans le futur. C’est pourquoi l’UNESCO s’engage de toutes ses forces pour y mettre un terme, sur tous les continents, comme une condition indispensable de sociétés pacifiques et d’autant plus robustes qu’elles sont mieux informées.À l’ère de la « post-vérité », le rôle de l’UNESCO est plus important que jamais, et ce nouveau numéro du Courrier est une belle occasion de renouveler notre engagement fondateur à soutenir l’information et la communication pour construire la paix dans l’esprit des hommes et des femmes.
Systèmes éducatifs africains et orientations internationales pour l’éducation au XXIe siècle (Revue internationale d’éducation de Sèvres; no. 77) Année de publication: 2018 Auteur: Abdeljalil Akkari Auteur institutionnel: France Education international L’agenda Éducation 2030 fait partie des 17 objectifs de développement durable des Nations unies. Tout d’abord, questionnons l’utilité des déclarations internationales en matière d’éducation. On observe en effet que les objectifs ambitieux sont repris d’une conférence internationale à l’autre. En réalité, il faut souligner le caractère à la fois utopique mais aussi mobilisateur de ces orientations. Leur intérêt se situe essentiellement dans leur capacité à mobiliser ressources (notamment financières). Sur le plan national, un agenda international porté par les Nations Unies a une valeur symbolique forte. Il marque un cap, un horizon vers lequel la communauté éducative internationale veut tendre. La nouveauté de l’agenda 2030 est qu’il a pour ambition de réunir l’ensemble des nations sur des objectifs similaires et universels.2Il est utile de se demander ce que les États membres de l’ONU font d’un agenda international. La réponse à cette question dépend de la puissance des États et de leur place dans la géopolitique mondiale. Pour les États les plus puissants, l’agenda exerce une influence relativement limitée sur leurs politiques éducatives domestiques, en dehors du choc ponctuel lié à la publication des résultats des études comparatives internationales. En revanche, pour les États les plus dépendants de l’aide internationale à l’éducation, la conformité avec les orientations d’un agenda international peut leur permettre d’accéder à des financements indispensables pour le développement ou simplement le maintien de leurs systèmes éducatifs.
Mutation du cosmopolitisme à l’époque contemporaine : d’une définition de soi à la désignation d’un état du monde (Klesis Revue Philosophique; no. 38) Année de publication: 2017 Auteur: Louis Lourme Auteur institutionnel: Université Paul-Valéry Dans le langage ordinaire, on peut dire d’une rame de tramway ou d’une ville qu’elle est cosmopolite, cela ne fait évidemment pas référence à la même acception du terme « cosmopolitisme » que dans le fait de parler, par exemple, d’un projet d’institution cosmopolitique à l’échelle internationale. En effet, les usages du terme « cosmopolitisme » sont tellement variés, ils recouvrent tellement de sens différents, qu’on ne sait plus si des auteurs différents ont encore quelque chose en commun, à tel point qu’il faut peut-être même abandonner tout simplement l’idée que l’on puisse définir le cosmopolitisme de façon précise et univoque sous peine de réduire certaines philosophies ou certains usages à des caricatures pour les faire entrer dans des cadres définitionnels qui seraient de toute façon trop larges pour être pertinents – par exemple en se contentant de la tautologie « le cosmopolitisme désigne le fait de se sentir citoyen du monde » sans chercher à l’analyser. De fait, le concept de cosmopolitisme peut désigner plusieurs choses selon les auteurs et selon les contextes (une manière d’être, une réalité sociologique, un projet politique, une conception du monde, etc.), et cette multiplicité de significations doit être clarifiée. C’est l’un des objets de cet article. À partir de ce travail de clarification des différents types de cosmopolitismes, il doit être possible de réfléchir d’une part au besoin (et à la forme possible) d’une éducation au cosmopolitisme, et d’autre part à ses limites face à la réalité du monde contemporain qui a entrainé une mutation profonde du concept : la citoyenneté mondiale n’est plus essentiellement un objet éthique mais est devenue un objet politique.
Optimiser l'apprentissage, l'éducation et l'édition en Afrique: le facteur langue; étude bilan sur la théorie et la pratique de l'enseignement en langue maternelle et l'éducation bilingue en Afrique subsaharienne Année de publication: 2011 Auteur: Adama Ouane | Christine Glanz Auteur institutionnel: UNESCO Institute for Lifelong Learning (UIL) | Association for the Development of Education in Africa (ADEA) This analytical review consists of three sections. The first section lays the theoretical foundations and is covered by Ekkehard Wolff and Kathleen Heugh: 1) language politics and planning in the light of development and 2) theories of bi- and multilingual education models and their implementation in the African context. A second section analyses teaching practices and classroom interaction in schools in two chapters by Birgit Brock-Utne and Hassana Alidou. This is followed by a review of the use of African languages in literacy and non-formal education by Hassana Alidou1 . Next, a review study by Kathleen Heugh addresses the critical issue of costs by assessing the costs related to implementing mother tongue and strong bilingual education programmes. Finally, the third section explores the role of locally-based multilingual publishing in supporting and promoting African languages and developing the language industries and the creative sector. Here, Yaya Satina Diallo from Guinea and Peter Reiner2 from Namibia shed light on the promise and pitfalls of publishing in African languages.Each of these sections focuses on theoretical frameworks and specific strategies designed to optimise learning and education in multilingual Africa. The language issue is dealt with at the levels of: policy and development; costing and financing; educational reform and governance; education models; classroom interaction; formal and non-formal education settings; literacy and publishing. 